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 Georges Frêche (ex-ps) continue ses propos graves.

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Psle06
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Psle06


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Georges Frêche (ex-ps) continue ses propos graves. Empty
MessageSujet: Georges Frêche (ex-ps) continue ses propos graves.   Georges Frêche (ex-ps) continue ses propos graves. Icon_minitimeMar 11 Sep - 19:59

Frêche condamné à 1.500 euros d'amende pour ses propos sur la police

L e président de la région Languedoc-Roussillon, Georges Frêche (ex PS), poursuivi pour avoir laissé entendre que des policiers brûlaient des voitures lors des violences urbaines de l'automne 2005, a été condamné mardi à une amende de 1.500 euros par la Cour d'appel de Montpellier.

Poursuivi pour diffamation, il avait été relaxé en première instance par le tribunal correctionnel de Montpellier. Le parquet avait alors fait appel et, lors de l'audience, le ministère public avait requis une amende de 5.000 euros. L'avocat de Georges Frêche, Me Gilles Gauer, avait, comme en première instance, plaidé la relaxe.

Selon des propos rapportés par le quotidien Midi Libre, le président de région s'était demandé début novembre 2005, lors de l'inauguration d'une mosquée à Montpellier, si ce n'était "pas les flics qui, comme en mai 1968, (mettaient) le feu aux bagnoles".

Le ministre de l'Intérieur de l'époque, Nicolas Sarkozy, avait porté plainte et saisi le ministre de la Justice afin qu'il déclenche des poursuites.

La Cour d'appel "devait choisir entre soit l'interdiction de critiquer la police soit le droit de critiquer la police", a commenté mardi l'avocat de Georges Frêche. "La Cour a choisi l'interdiction. Elle se base sur une loi qui a plus de deux siècles - une loi aujourd'hui obsolète même si elle continue d'exister".

"La démocratie aujourd'hui, ça doit être le droit de pouvoir discuter et critiquer l'Etat, notamment la police et éventuellement son ministre de l'Intérieur", a poursuivi Me Gauer. "Georges Frêche a fait son devoir d'homme politique à l'époque des faits en s'interrogeant sur une question fondamentale".

Me Gauer a indiqué qu'il devait prendre contact avec son client, absent du tribunal, avant de décider de se pourvoir en cassation. Il a laissé entendre qu'il irait jusque devant la Cour européenne des Droits de l'Homme "s'il le faut. Et vous verrez qu'on y gagnera", a-t-il déclaré.

Jeudi, la Cour d'appel de Montpellier prononcera son délibéré dans une autre affaire impliquant Georges Frêche.

S'adressant, en février 2006, à des harkis lors d'un hommage à un ancien leader pied-noir, M. Frêche les avait traités de "sous-hommes", des propos qui avaient suscité l'indignation générale et la colère d'associations de harkis.

Poursuivi pour "injure envers un groupe de personnes en raison de son appartenance ethnique, raciale ou religieuse", M. Frêche avait été condamné en première instance à une amende de 15.000 euros. Il avait interjeté appel.

Lors de l'audience, en juin, l'avocat général avait requis la confirmation de la condamnation pour injure raciale.

Au début de l'année, Georges Frêche a été exclu du Parti socialiste pour ses dérapages verbaux.

L e président de la région Languedoc-Roussillon, Georges Frêche (ex PS), poursuivi pour avoir laissé entendre que des policiers brûlaient des voitures lors des violences urbaines de l'automne 2005, a été condamné mardi à une amende de 1.500 euros par la Cour d'appel de Montpellier.

Poursuivi pour diffamation, il avait été relaxé en première instance par le tribunal correctionnel de Montpellier. Le parquet avait alors fait appel et, lors de l'audience, le ministère public avait requis une amende de 5.000 euros. L'avocat de Georges Frêche, Me Gilles Gauer, avait, comme en première instance, plaidé la relaxe.

Selon des propos rapportés par le quotidien Midi Libre, le président de région s'était demandé début novembre 2005, lors de l'inauguration d'une mosquée à Montpellier, si ce n'était "pas les flics qui, comme en mai 1968, (mettaient) le feu aux bagnoles".

Le ministre de l'Intérieur de l'époque, Nicolas Sarkozy, avait porté plainte et saisi le ministre de la Justice afin qu'il déclenche des poursuites.

La Cour d'appel "devait choisir entre soit l'interdiction de critiquer la police soit le droit de critiquer la police", a commenté mardi l'avocat de Georges Frêche. "La Cour a choisi l'interdiction. Elle se base sur une loi qui a plus de deux siècles - une loi aujourd'hui obsolète même si elle continue d'exister".

"La démocratie aujourd'hui, ça doit être le droit de pouvoir discuter et critiquer l'Etat, notamment la police et éventuellement son ministre de l'Intérieur", a poursuivi Me Gauer. "Georges Frêche a fait son devoir d'homme politique à l'époque des faits en s'interrogeant sur une question fondamentale".

Me Gauer a indiqué qu'il devait prendre contact avec son client, absent du tribunal, avant de décider de se pourvoir en cassation. Il a laissé entendre qu'il irait jusque devant la Cour européenne des Droits de l'Homme "s'il le faut. Et vous verrez qu'on y gagnera", a-t-il déclaré.

Jeudi, la Cour d'appel de Montpellier prononcera son délibéré dans une autre affaire impliquant Georges Frêche.

S'adressant, en février 2006, à des harkis lors d'un hommage à un ancien leader pied-noir, M. Frêche les avait traités de "sous-hommes", des propos qui avaient suscité l'indignation générale et la colère d'associations de harkis.

Poursuivi pour "injure envers un groupe de personnes en raison de son appartenance ethnique, raciale ou religieuse", M. Frêche avait été condamné en première instance à une amende de 15.000 euros. Il avait interjeté appel.

Lors de l'audience, en juin, l'avocat général avait requis la confirmation de la condamnation pour injure raciale.

Au début de l'année, Georges Frêche a été exclu du Parti socialiste pour ses dérapages verbaux.

http://www.orange.fr/bin/frame.cgi?u=http%3A//actu.orange.fr/articles/france/

Vous savez de quel parti il est maintenant Question
C'est un pro-communiste névrosé pour parler des policiers comme ça sachant que tout est super surveillé Twisted Evil
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MessageSujet: Re: Georges Frêche (ex-ps) continue ses propos graves.   Georges Frêche (ex-ps) continue ses propos graves. Icon_minitimeJeu 13 Sep - 21:57

Je double post:

Harkis "sous-hommes": Georges Frêche relaxé à la surprise générale

G eorges Frêche, président de la Région Languedoc-Roussillon, poursuivi pour avoir traité des harkis de "sous-hommes", a été relaxé jeudi en appel, une décision en faveur du probable candidat aux sénatoriales, exclu du PS pour ses écarts de langage, prononcée à la surprise générale.

En première instance, Georges Frêche avait écopé d'une amende de 15.000 euros. Et lors de l'audience d'appel, l'avocat général avait requis la confirmation de cette condamnation pour injure raciale.

C'est lors d'un hommage, en février 2006, à un ancien leader pied-noir que M. Frêche s'en était pris à des harkis qui avaient assisté le même jour à une manifestation similaire de l'UMP.

"Vous êtes allés avec les gaullistes (...) Ils ont massacré les vôtres en Algérie (...). Ils les ont égorgés comme des porcs. Vous faites partie de ces harkis qui ont vocation à être cocus jusqu'à la fin des temps (...). Vous êtes des sous-hommes, vous êtes sans honneur", avait lancé M. Frêche.

Ces propos avaient suscité une vive réaction en France au sein de la communauté harkie. Ils avaient aussi valu au puissant président de la région Languedoc-Roussillon une suspension de deux ans de la direction du Parti socialiste.

Jeudi, son avocat se réjouissait de "la fin d'un procès contre la vérité".

La Cour d'appel, a analysé Me Gilles Gauer, "exprime d'une part que les propos ne s'adressaient d'aucune manière à la communauté harkie mais à deux individus". L'avocat a souligné par ailleurs l'absence de connotation raciale dans les propos "puisqu'on dénonçait le manque d'honneur des personnes dont il s'agissait".

Les associations de harkis en revanche, qui ont annoncé leur intention de se pourvoir en cassation, ont laissé éclater leur colère.

"Ce n'est même plus de la colère, ça devient de la haine. On avait confiance dans la justice mais aujourd'hui la justice ne respecte pas la communauté harkie", a déclaré Abdelkrim Klech, président du collectif national Justice pour les Harkis, partie civile. "On relaxe Frêche, alors la justice reconnaît que les harkis sont des sous-hommes", s'est-il indigné.

Quant à Abdelkader Cheibaïki, président de l'association Justice Information et Réparation pour les harkis, à qui les propos s'adressaient, il s'est déclaré "abasourdi" par l'arrêt de la cour d'appel: "C'est inadmissible, on ne se laissera pas faire", a-t-il lancé.

La relaxe intervient deux jours après une condamnation de Georges Frêche: mardi, il a écopé, en appel, d'une amende de 1.500 euros pour avoir laissé entendre que des policiers brûlaient des voitures lors des violences urbaines de l'automne 2005.

Habitué des écarts de langage, M. Frêche a été exclu du PS au début de l'année, deux mois après avoir jugé anormale la proportion de Noirs dans l'équipe nationale de football.

Reste que le patron de la région Languedoc-Roussillon règne sans partage sur cette région et a déjà dévoilé son avenir proche: il a annoncé son intention de quitter la présidence de l'Agglomération de Montpellier l'an prochain - prenant le soin de désigner lui-même son successeur - et de se présenter aux sénatoriales.

Et il fourmille de projets pour la Région qu'il espère garder aux prochaines élections, malgré ses déclarations à l'emporte-pièce. Une région qu'il veut voir figurer au 10è rang des régions françaises dans les trois ans, contre le 17è rang qu'elle occupe actuellement, a-t-il déclaré récemment sur France Bleu Hérault.

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