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 Nicolas Sarkozy veut mener ses réformes sociales tambour bat

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MessageSujet: Nicolas Sarkozy veut mener ses réformes sociales tambour bat   Nicolas Sarkozy veut mener ses réformes sociales tambour bat Icon_minitimeMer 19 Sep - 10:02

Nicolas Sarkozy veut mener ses réformes sociales tambour battant


Régimes spéciaux, 35 heures, contrat de travail, fusion ANPE-Unedic... le président de la République prône le dialogue, mais veut aller vite.

C'ÉTAIT le discours le plus attendu de Nicolas Sarkozy depuis son installation à l'Élysée. Dans la salle Clemenceau des sous-sols du Sénat, normalement dévolue aux colloques, le président de la République a livré, en une heure, l'essentiel de sa stratégie de réforme des questions sociales dans l'année à venir. Un vade-mecum de la rupture avec un modèle social français « à bout de souffle ». Il s'exprimait devant une centaine de journalistes, membres de l'Association des journalistes de l'information sociale (Ajis), et cette fois-ci, le président de la République a abandonné le style du président-candidat qu'il affectionnait ces derniers temps. Très sobre, il a choisi de préciser les contours et l'agenda des réformes clés de ce début de quinquennat.


Nicolas Sarkozy n'a esquivé aucun des sujets épineux du moment : trente-cinq heures, travail des seniors, fusion de l'ANPE et de l'Unedic, réformes de la représentation syndicale, chasse à la fraude aux prestations sociales, financement de l'assurance-maladie. Et ce n'est que vers la fin de son discours que Nicolas Sarkozy a abordé « les régimes spéciaux ». Sans citer son premier ministre, François Fillon, qui avait affirmé la semaine dernière que la réforme était « prête », Nicolas Sarkozy a néanmoins enjoint le gouvernement de « réformer sans tarder ». Il n'a pas ajouté que la réforme devait être « prête avant la fin de l'année » - comme l'indiquait la version écrite de son discours - mais telle est bien l'intention, indiquait-on hier à l'Élysée. Il a confié au ministre du Travail, Xavier Bertrand, la tâche de consulter « tous les acteurs concernés » dans les quinze jours. Et ce « dès demain ». Donc, aujourd'hui. Mais il a assuré, en contrepartie, que les « petites retraites » seraient revalorisées.


La demi-douzaine de chantiers ouverts par le chef de l'État devrait s'étaler jusqu'à la mi-2008. Parmi les défis les plus urgents évoqués, la réforme du contrat de travail : « Tout le monde sait que l'accumulation des protections qui entourent le contrat de travail ne garantit pas la sécurité professionnelle des travailleurs », a-t-il martelé. En saluant les négociations en cours sur ce sujet entre les partenaires sociaux, il a prévenu que s'il n'y avait pas d'accord avant la fin de l'année, l'État prendrait « les mesures appropriées », ajoutant aussi que « si l'accord est un faux accord, l'État se réserve le droit de le dire ».


Le chef de l'État s'est aussi signalé en citant nombre de ses ministres, auxquels il a confié plusieurs chantiers : Xavier Bertrand, auquel il a renouvelé sa « confiance » ; le ministre de l'Économie, Christine Lagarde, qui doit ouvrir une conférence sur le pouvoir d'achat, ou Luc Chatel, secrétaire d'État chargé de la Consommation, qui se penchera sur la protection du consommateur. François Fillon, en revanche, n'a été cité qu'une seule fois, conjointement à Jean-Pierre Raffarin, dans une évocation de la réforme des retraites de 2003.


L'opinion soutient les réformes

Le président de la République se sent-il conforté par la batterie de sondages qui indiquent que l'opinion soutient les réformes ? « Les sondages sont ambigus. Nous voyons bien que les Français sont hostiles à des réformes brutales », nuance un proche conseiller du président. D'où le soin mis par Nicolas Sarkozy à ne « pas stigmatiser » les fonctionnaires, et à saluer leur dévouement, par exemple lors des « tempêtes de décembre 1999 ».


Reste, dans un contexte économique difficile, le besoin de convaincre que la France engage les réformes les plus difficiles, celles attendues par ses électeurs, et par ses partenaires européens. Très inhabituelle, la déclaration d'Ulrich Wilhelm, porte-parole du gouvernement allemand, a sans doute réchauffé, hier, l'axe Paris-Berlin, à l'heure où la presse évoquait un refroidissement : « Par son discours courageux, le Président Sarkozy a montré qu'il était décidé à faire avancer avec énergie sa politique des réformes en France. Le gouvernement fédéral en attend des impulsions importantes pour le renforcement de la compétitivité et de la croissance en Europe », a salué le porte-parole d'Angela Merkel.
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Minh

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MessageSujet: Re: Nicolas Sarkozy veut mener ses réformes sociales tambour bat   Nicolas Sarkozy veut mener ses réformes sociales tambour bat Icon_minitimeMer 19 Sep - 10:16

Bonne impression , voyons voir les résultats désormais .
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